Présentation de Flecham D.

# Prénom du personnage : Flecham.

# Nom du personnage : Darlogine.

# Âge du personnage : 28 ans.

# Sexe du personnage : Masculin.

# Description physique :

Flecham Darlogine est plutôt grand. Il n'atteint, malheureusement pour lui, pas les grattes-ciels de la ville mais il est suffisamment grand pour se bouffer les portes. C'est une histoire d'environ 1 mètre 86. Son poids, qu'il ne souhaiterait révélé, est en adéquation avec sa grande morphologie ce qui fait de lui un homme élancé et fin. Musclé à souhait par la marche quotidienne et la pratique - légère - de la natation, Flecham n'a pas une musculature de béton. Les yeux marrons, les cheveux châtains, oscillant entre le clair et le foncé, mi-long ou mi-court, les dents droites et les joues creuses. Flecham sait qu'il n'est pas n'importe qui, car il s'est donné les moyens de réussir. Il est donc généralement, ou du moins dans sa vie quotidienne avant le D-Game, plutôt bien habillé. Tenues chics et cintrées sont de rigueur avec lui.

# Description psychologique :

Le jeune Darlogine est d'un naturel plutôt travailleur et attentif. Concentré et actif dans tout ce qu'il entreprend, ce jeune homme est reconnu pour son flegme comme pour sa spontanéité. Néanmoins, Flecham n'échappe pas à la règle des défauts imposées. Ainsi, rapidement il peut devenir désagréable et rancunier. Lorsqu'on lui fait une crasse ou que l'on se tend à travers de sa route, il devient vilain et sadique. Il saura se caché comme il saura attaqué voire harceler. Très intelligent, il à une grande culture et est prompte à la réflexion et à l'apprentissage. Rien ne doit lui résister. Pas même le D-Game d'après lui.

# Dans quelles conditions a-t-il découvert le Darwin's Game ?

Le jeune Flecham Darlogine dormait paisiblement lorsqu'on frappa à sa porte. Il avait emménagé depuis peu dans un petit studio dans un vieil appartement de banlieue. Il faut dire qu'il ne chiait pas de l'or ni même de l'argent le jeune Flecham. Surpris et réveillé, il se dirigea, légèrement somnolant, vers la porte qu'il entreprit d'ouvrir doucement. Ce ne fut personne d'autre que le facteur qui lui apportait un colis. C'est vrai que ce facteur avait une drôle d'allure, mais en mesure de l'heure tardive ou matinale, Flecham ne releva pas l'information, signa et salua le personnage étranger. Il posa le colis sur sa table et retourna se coucher.

Le lendemain, à son réveille c'est encore à la porte qu'on toqua. Cette fois-ci, bien plus apte à la discutions, le jeune homme ouvrit la porte sur sa vieille voisine Garmina qui lui apportait le journal. Il avait un accord : Garmina payait le journal quotidien et elle offrait celui de la veille chaque matin à Flecham, le temps celui-ci accueillait une fois par semaine la vieille femme chez lui pour qu'elle s'occupe. C'était un accord étrange mais sa voisine en était totalement satisfaite. « C'est drôle, débuta-t-elle, aujourd'hui, comme hier, ils parlent dans le journal de ces drôles de trous dans le sol. On soupçonne ses voyous d'artistes et leurs idées saugrenues. ». Flecham souriait à la vieille femme en refermant doucement la porte sur elle avant que la journée ne reprit son cours habituel.

Rentré de son travail prenant, il était universitaire, Flecham lut rapidement le journal et s'informa qu'en effet, la veille ils avaient détecté de drôles d’œuvres dans les rues de la ville. Il ne put s'empêcher de les trouver belles, car elles représentent pour lui la révolte face à un mauvais système. C'était quelque chose qui lui tenait à cœur. Pris dans sa réflexion, il en avait oublié le colis mystérieux arrivé en pleine nuit. Flecham réfléchit et se doutait maintenant que l'homme n'avait pas été un facteur, c'était impossible ; même avec un excès de zèle on ne livre pas à deux heures du matin, à la poste. Il s'empara avec précaution du colis et l'ouvrit à l'aide d'un couteau suisse. Dedans rien de suspect. Un joli téléphone portable, moderne, était cependant soigneusement déposé au fond du carton. Flecham le prit en main. C'était pour lui ? Un si joli présent alors qu'il n'avait même pas l'argent pour s'offrir la carte électronique qui était dedans. Qu'avait-il fait pour mériter cela ? Il souriait, joyeux. Naïf mais joyeux.

Il restait dans le fond de la boite, une note. Flecham prit le papier et l’énonça à voix haute pour être sur qu'il ne rêvât pas. « Bonjour Flecham. Ce téléphone portable est dorénavant à vous. Pour votre travail et votre persévérance. Nous voulons vous tester, nous voulons jouer, nous voulons vous offrir cet appareil. » conclut-il dubitatif. Il ne comprenait pas tout le mystère de ce mot mais il avait capté que le téléphone maintenant lui appartenait. Il jeta l'emballage et le papier. Alluma le portable qui inscrit sur l'écran lumineux son prénom. *Quelle machine formidable* pensa-t-il. Une fois allumé, sur l'écran de bureau s'afficha une publicité pour un jeu. La publicité était joli et bien exécutée. Lui qui n'était pas joueur habituellement, emporté par la force des choses, par la réalité des évènements, par le contentement de la réussite, appuya sur l'inscription.

Fatale erreur ! Il ne 'avait pas encore compris mon son destin était maintenant lié à un petit jeu et à ce téléphone. Le Darwin's Game allait devenir toute sa vie, à moins que ce ne soit sa vie qui allait devenir le Darwin's Game. Flecham était allongé sur le sol. Il reprit ses esprits doucement après avoir fait un malaise impromptu. Il croyait pourtant que c'était vrai, il venait d'être mordu par un serpent sorti du téléphone, au cou. Il passa sa main sur celui-ci : il était chaud. Debout rapidement, il se hâta vers le miroir le plus proche ; il avait une marque, un code barre : la partie avait commencé.